J’ai besoin de toi !
J’ai besoin de rencontres passionnelles et intenses !
J’ai besoin du regard de l’autre !
Avez-vous comme moi déjà éprouvé cette douleur du manque...un manque d'amour, d'attention que l’on juge jamais suffisant pour combler toute cette sensation de vide...ce manque fruit de la croyance de ne pas avoir reçu tout l’amour dû !
Mais en réalité, ce qui fait mal ce n’est pas l’idée de ce soi-disant vide, c’est la sensation physique de contraction, de nœud dans le ventre ! La sensation de manque (quelque soit le domaine où elle est vécue) est le lieu de la contraction. Le réflexe est de chercher à éliminer cette douleur en « mendiant » (plus ou moins subtilement) l’amour de l’autre comme un besoin viscéral. Et ce que l’on croit être le besoin de l'autre, crée la dépendance.
Et si le besoin n’était pas tant celui de l’autre, mais de soi-même...de présence à soi, de retour à ses profondeurs, à son êtreté ?
Et si ce manque-à-être était en réalité l’appel à se relier à « l’autre côté » de soi, cette altérité que l’on peut aujourd’hui nommer de « pôle féminin » ou « énergie du féminin » ! Cette autre partie de soi marquée par les profondeurs de l’inconscient, lieu de l’inaccompli, comme le souligne et l'explique si bien Annick de Souzenelle.
Par expérience, lorsque j’emprunte cette voie du Féminin, en me reliant à mes sensations, en accueillant véritablement ce nœud douloureux dans mon ventre, une décrispation apparaît spontanément...une sensation de délivrance douce et apaisante se présente à l’instant même où je m’accueille !
Le manque se traverse par l’accueil : une présence totale et aimante à soi ! C’est sans doute cela d’ailleurs le véritable amour inconditionnel tant recherché auprès de l’autre... Cette présence n’est pas d’ordre mental...elle est organique et sensorielle pour être réellement opérante. Et pour cela elle ne peut que se vivre...s’éprouver : une expérience intime avec soi-même !
Le manque n’est alors plus absence...il devient un vide riche de tendresse...une vastitude sans formes où la vie peut surgir et se dilater à l’infini...le lieu alchimique de toute création !
©Rachel VINCENT*Accompagnante sur la voie du Féminin*créatrice des espaces DANSE ESSENCE®
J’ai besoin de rencontres passionnelles et intenses !
J’ai besoin du regard de l’autre !
Avez-vous comme moi déjà éprouvé cette douleur du manque...un manque d'amour, d'attention que l’on juge jamais suffisant pour combler toute cette sensation de vide...ce manque fruit de la croyance de ne pas avoir reçu tout l’amour dû !
Mais en réalité, ce qui fait mal ce n’est pas l’idée de ce soi-disant vide, c’est la sensation physique de contraction, de nœud dans le ventre ! La sensation de manque (quelque soit le domaine où elle est vécue) est le lieu de la contraction. Le réflexe est de chercher à éliminer cette douleur en « mendiant » (plus ou moins subtilement) l’amour de l’autre comme un besoin viscéral. Et ce que l’on croit être le besoin de l'autre, crée la dépendance.
Et si le besoin n’était pas tant celui de l’autre, mais de soi-même...de présence à soi, de retour à ses profondeurs, à son êtreté ?
Et si ce manque-à-être était en réalité l’appel à se relier à « l’autre côté » de soi, cette altérité que l’on peut aujourd’hui nommer de « pôle féminin » ou « énergie du féminin » ! Cette autre partie de soi marquée par les profondeurs de l’inconscient, lieu de l’inaccompli, comme le souligne et l'explique si bien Annick de Souzenelle.
Par expérience, lorsque j’emprunte cette voie du Féminin, en me reliant à mes sensations, en accueillant véritablement ce nœud douloureux dans mon ventre, une décrispation apparaît spontanément...une sensation de délivrance douce et apaisante se présente à l’instant même où je m’accueille !
Le manque se traverse par l’accueil : une présence totale et aimante à soi ! C’est sans doute cela d’ailleurs le véritable amour inconditionnel tant recherché auprès de l’autre... Cette présence n’est pas d’ordre mental...elle est organique et sensorielle pour être réellement opérante. Et pour cela elle ne peut que se vivre...s’éprouver : une expérience intime avec soi-même !
Le manque n’est alors plus absence...il devient un vide riche de tendresse...une vastitude sans formes où la vie peut surgir et se dilater à l’infini...le lieu alchimique de toute création !
©Rachel VINCENT*Accompagnante sur la voie du Féminin*créatrice des espaces DANSE ESSENCE®